J’ai croisé une madame d’hier, celle que je n’ai pas vue depuis un certain temps. Il n’était qu’une rencontre imprévisible. Je me promenais dans la rue. Elle se dirigeait vers la opposite direction. Au certain point, on s’identifiait, ce n’était ainsi qu’on s’engage dans une brève conversation.
Je lui demandais pourquoi elle avait été absente de notre réunion sociale depuis si longtemps. Elle me faisait savoir qu’elle avait besoins de prendre soin de son propre père, qui était dans le processus de recevoir des examines médicaux. En plus, elle était en train de se déménager bientôt, il n’y avait trop de choses qu’à faire qu’elle se sentait incapable d’assister à notre réunion hebdomadaire.
Puis, à son tour, elle voulais se faire savoir comment je me comportais. Je lui ai dit que ça ne allait pas très bien, car j’avait vécu trop de déboires, d’incertitudes, et de soucis. Comme beaucoup de gens, qui m’ont fait déçu, je me suis devenu méfiant.
Après qu’elle m’a donné ses reconnaissances de ce que j’avais vécu, elle me aussi faisait rappeler de ne pas me comporter telle une pendule dont la position extrême n’était capable d’engendrer, inutilement, qu’une misère personnelle.
Elle s’employait une métaphore de Disney pour me faire comprendre le message clé qu’elle voulais que je retienne.
“Parfois, tu as besoin de donner baiser aux nombreuse grenouilles pour te trouver les vrais ami(e)s.”
C’est vrai. Bien que certains chapitres de mon passé soient peut-être englobés par les ombres, ça ne veut pas dire que le futur, qui m’attend, resterait le même.
Les choses peuvent s’améliorer. Les déconvenues s’éloigneront, sûrement.